Dans ces pages très imagées, organisées par quartier, on rassemble les photos et les anecdotes qui n'ont pas trouvé
leur place dans les pages précédentes.
Les photos avant 1887 sont rares, nous n'en avons que 2 :
le magasin Béthoux avec le tas de fumier en premier plan
et vue de Cimon,
l'ancien monastère des Capucins et le château.
La carte postale a été instaurée par la loi du 18 février 1872, mais ce n'est qu'un simple carton blanc avec la correspondance
sur une face et l'adresse sur l'autre. En 1889, pour l'exposition universelle on diffuse une carte avec la photo
de la tour Effel et ce n'est qu'en 1891 que l'on autorise la carte postale avec une photo mais on doit écrire sur ce côté
l'autre étant exclusivement réservé à la seule adresse. En 1904 la carte postale devient celle que l'on
connaît aujourd'hui avec un côté photo et l'autre avec partie adresse et partie correspondance.
Les photos et cartes postales sont très rarement datées, Il n'est pas facile de leur attribuer une date relativement
exacte. On peut établir une échelle qui permet de donner une fourchette :
- 1890 les plaques des rues et des maisons
- 1892 l'électricité
- 1898 acqueduc rue du jeu de Quilles
- 1904 eau, fontaines et pissotières, les bassins sont supprimés
- 1905 la bordure des rues le long de la route nationale (on lit partout 1924, une coquille largement reproduite !), réfection complète de la chaussée à l'automne 1906.
- 1905 rehaussement de la maison Dellorensi au pied du Breuil
- 1907 rehaussement de l'hôtel du nord
- 1911 la place Perret
- 1912 pose des rails
Les pages de cette section :
- Le Breuil
- La place des Casernes (place Pasteur)
- La rue des Fossés
- Centre ville : Grande Rue, rue Murette, rue Magdeleine, rue Pierre Grosse...
- La rue du Nord, la gare
- La Place Auguste Perret
- Le Rondeau et l'expansion sud de la ville : collège, gendarmerie, ganterie, nouvelles voies
- Vieille église - Cimetière - Route de Nantes.
- La rue des Alpes
Nous avons récupéré ces photos et cartes postales partout où nous avons pu : personnel, archives de l'Isère, livres, internet... ce qui explique la médiocre qualité de certaines. Leur paternité, devenue difficile à établir, ne sera pas mentionnée. Elles sont d'ailleurs tombées dans le domaine public (70 ans après la mort du photographe).